mardi 24 mai 2022

Migration vers un autre BLOG

 Bonjour

Ce blog a migré vers un autre blog dont l'adresse est la suivante :

https://prag-prce.blogspot.com/


Nous avons laissé subsister certains articles de ce blog, notamment pour montrer  quel type d'articles a été publié dessus, et supprimé les autres.

Le sort des PRAG et des PRCE va se jouer dans les mois à venir, que ce soit comme suite à la réclamation que nous avons adressé au comité européen des droits sociaux, ou par la réception par la nouvelle ministre de l'enseignement supérieur de nos analyses et réflexions dans le cadre d'une prochaine audience.

Le nouveau blog comporte déjà deux articles pour le moment :

- l'un relatif à une appellation trompeuse et préjudiciable nouvellement attribuée aux PRAG et aux PRCE

https://prag-prce.blogspot.com/2022/05/esas-enseignants-du-second-degre.html

- l'autre relatif à notre réclamation au CEDS, essentielle pour la liberté académique des PRAG, des PRCE et des enseignants contractuels du supérieur, notamment les ATER

https://prag-prce.blogspot.com/2022/05/reclamation-du-sages-au-ceds-concernant.html

et va être régulièrement alimenté par d'autres articles.

Bien cordialement



dimanche 16 octobre 2011

Réforme du recrutement sur les emplois de PRAG

La procédure de recrutement a été modifiée depuis la rentrée de septembre 2011.
Pour la connaître, cf. http://www.le-sages.org/documents/2011/prag-recru-2011.pdf


Par ailleurs, n'oubliez pas de voter pour la liste SAGES-SIES-SNCL (agrégés, PRAG)
et pour la liste SNCL-SIES (certifiés, PRCE) aux CAPN
et pour la liste CSEN-FAEN-CFTC (Comité technique ministériel)

mercredi 26 mai 2010

Relance des audiences

Le processus de réforme du statut des PRAG a connu une pause, notamment du fait du chamboulement dans la composition du cabinet de la ministre, qui a notamment conduit au remplacement de notre précédente interlocutrice, Carole Moinard, par Roland Jouve (cf. http://www.collectif-papera.org/spip.php?article157 ).

Nous serons reçus le 31 mai dans l'après-midi par M. Jouve.
Nous avons, à cet effet, élaboré des fiches pour différents sujets, comprenant une analyse et des propositions.
Il y en a notamment et spécialement une sur les CAP et le "CNU des PRAG", car nous nous sommes aperçus que sur cette question, beaucoup de PRAG se sont laissés abuser par la réthorique des autres organisations syndicales qui sont parvenues à leur faire croire qu'il fallait dans leur intérêt maintenir les CAP en l'état pour les PRAG tout en leur dissimulant leur véritable motivation pour ce maintien.

Ces fiches présentent l'avantage de laisser davantage de marge dans la traduction réglementaire (dans l'écriture du décret),  d'être plus synthétique, donc plus aisé à, lire et à comprendre que notre proposition de décret,  pour le ministère et pour les PRAG eux-mêmes, et enfin d'insister sur ce qu'il faut changer et sur les raisons de cette nécessité. Certaines modifications et  certaines motivations sont capitales, bien qu'elles apparaissent très "techniques" au premier abord, et il est vraiment important de le faire comprendre et accepter. Nous espérons être parvenus à en faire comprendre l'intérêt aux PRAG, car si une majorité d'entre eux continuait  à être abusée par les autres syndicats, non seulement leur situation ne s'améliorerait pas, mais elle se détériorerait. Les PRAG auraient déjà le moyen de comprendre en quoi ces syndicats se fichent d'eux ou les sacrifient pour défendre d'autres catégories de personnels ; il leur suffirait de comparer le détail des analyses et des propositions de ces syndicats concernant les enseignants-chercheurs, la hargne à les argumenter, avec le vague pour tout ce qui concerne les PRAG et le manque d'implication à les défendre. Mais d'une part il leur faudrait rentrer dans le détail de l'analyse juridique, ce que nous avons fait pour eux, et d'autre part il leur faudrait aussi assister aux réunions et audiences qui permettent de lever toute ambiguïté relativement aux desseins desdits syndicats concernant les PRAG (cf. notre compte rendu sur la première réunion au ministère avec tous les syndicats, sur le site du SAGES).

Ces fiches seront mises en ligne sur le site du SAGES, sans doute après l'audience, car jusque là nous nous laissons la possibilité de les modifier jusqu'au dernier moment, notamment pour en corriger les fautes et en parfaire la mise en forme.

Enfin, comme il est fort possible, et même probable, que le ministère ne retienne pas toutes nos propositions, nos fiches  ne seront pas toutes obsolètes après la réforme à venir du statut des PRAG. Il faudra alors que leur diffusion parmi les PRAG contribue à leur donner du poids, ainsi qu'au SAGES (et au SIES), seul(s) en mesure de faire améliorer le statut des  PRAG.

Denis ROYNARD
Président du SAGES
élu au CNESER des PRAG et des Professeurs ENSAM ( SAGES) et des PRCE ( SIES)

mercredi 10 mars 2010

Les réunions avec le ministère sur l'évolution de notre statut se poursuivent

Mes chers collègues

Suite à la réunion au ministère de 5 mars 2010, puis au compte rendu qui en a été fait (mis en ligne sur le site internet du SAGES ce matin avec un lien sur ce blog), les échanges se poursuivent.

Demain à 10h, j'aurai un rdv téléphonique avec le ministère de l'enseignement supérieur, et il y aura ensuite d'autres conversations téléphoniques, des échanges 
par courrier électronique et une ou plusieurs audiences.

Cordialement

--
Denis ROYNARD
Pdt du SAGES
élu du SAGES (PRAG et assimilés) et du SIES (PRCE et assimilés)
au CNESER
PRAG à Centrale Marseille

mardi 9 mars 2010

lundi 1 mars 2010

Reprise des discussions sur l'évolution du statut des PRAG au ministère

La discussion sur la statut des PRAG et des PRCE va reprendre au ministère le 5 mars, de 10h30 à 12h30, organisée par Carole MOINARD, conseillère sociale et vie étudiante au sein du cabinet de Madame Valérie PECRESSE, en présence de Monsieur Patrick ALLAL, conseiller social au cabinet de Luc CHATEL.
Après que le SAGES et le SIES aient discuté seuls avec le ministère, les autres syndicats se désintéressant de la question, la discussion qui reprend, prenant un tour institutionnel, va également rassembler d'autres syndicats qui,
à l'exception du SNESUP (et de nous-mêmes, évidemment), ne sont absolument pas représentatifs pour ces catégories particulières
de personnels.
Cordialement, denis roynard, président du SAGES,
élu du SAGES (prag et professeurs ENSAM) et du SIES (PRCE) au CNESER

jeudi 19 mars 2009

Quelles dispositions pour les PRAG doctorants ?

Pour les PRAG doctorants, nous partons des dispositions existantes, celles qui figurent dans le

Décret n°2000-552 du 16 juin 2000 relatif aux aménagements de service accordés à certains personnels enseignant dans les établissements denseignement supérieur relevant du ministre chargé de lenseignement supérieur :

Article 1


Les personnels enseignants du second degré affectés dans les établissements publics d’enseignement supérieur relevant du ministre chargé de l’enseignement supérieur et dont les obligations de service sont fixées par le décret du 25 mars 1993 susvisé peuvent demander, lorsqu’ils sont inscrits en vue de la préparation du doctorat, à bénéficier d’un aménagement de leur service d’enseignement dont la durée totale ne peut excéder quatre années.


Cet aménagement ne peut conduire son bénéficiaire à accomplir un service d’enseignement en présence des étudiants d’une durée inférieure à la moitié, ni supérieure aux deux tiers de celle qui est prévue à l’article 2 du décret du 25 mars 1993 susvisé.


Les décisions individuelles d’attribution ou de renouvellement d’aménagement de service sont prises, chaque année, par le chef d’établissement, dans la limite du contingent qui lui est fixé par le ministre chargé de l’enseignement supérieur, sur proposition du conseil scientifique, ou de l’instance en tenant lieu, siégeant dans une formation restreinte aux enseignants-chercheurs, personnels assimilés et enseignants, après avis du directeur de la composante, ou de la structure en tenant lieu, dans laquelle l’intéressé assure son enseignement et du directeur de l’école doctorale concernée ou, à défaut, du directeur de la formation doctorale. Chaque renouvellement fait l’objet d’une demande de l’intéressé accompagnée d’un rapport sur l’état d’avancement de ses travaux.


Chaque décision individuelle d’aménagement du service fixe le nombre d’heures d’enseignement à assurer et en prévoit la répartition au cours de l’année considérée.



Article 3


Les périodes d’aménagement du service prévues aux articles 1er et 2 viennent en déduction de la durée du congé de formation professionnelle prévue au b de l’article 12 du décret du 14 juin 1985 susvisé, au prorata de la part correspondante de la réduction accordée.





Article 5


Tout enseignant à qui a été refusé deux fois successivement un aménagement de service prévu aux articles 1er et 2 ci-dessus peut saisir, dans un délai d’un mois à compter de la date de notification de la deuxième décision de refus, le conseil d’administration siégeant dans une formation restreinte aux enseignants-chercheurs, personnels assimilés et enseignants, dont la proposition se substitue à celle du conseil scientifique.


Article 7


Les bénéficiaires des dispositions du présent décret sont réputés avoir accompli l’intégralité de leurs obligations de service. Aucune charge d’enseignement complémentaire ni aucun service supplémentaire pouvant donner lieu à l’attribution de primes liées à l’accomplissement d’un tel service ne peut leur être confié.

.


Le principal problème est posé par le cas des PRAG qui font leur recherche dans une discipline non représentée localement, ou dans une autre université, notamment (mais pas seulement) quand la thèse a commencé avant d'être recruté comme PRAG. En fait, il y a alors 2 pbs :
- le PRAG risque fort de ne pas avoir de décharge dans ce cas, surtout si son université est très pauvre
- une instance locale n'est pas l'organe le mieux placé, soit pour une question de compétence (discipline non représentée dans l'établissement), soit pour une question de partialité (thèse dans un établissement "concurrent").

Il faudrait donc prévoir le recours à une instance extérieure, mais ça ne va pas du tout dans le sens de l'évolution actuelle, et il semble a priori plus aisé d'obtenir des garanties opposables pour les PRAG déjà docteurs que pour les doctorants, dans la mesure où l'on va nous répondre que pour ces derniers, le ministère est bien bon de leur permettre de devenir docteur au frais de l'état.


Qu'en pensez- vous ?